Bien plus qu’un simple écrin végétal, les abords du château dessinent un paysage structuré et habité, façonné au fil des siècles. Jardins, allées et perspectives prolongent l’esprit du lieu et accompagnent chaque visite dans une continuité naturelle.
Depuis plusieurs années, les équipes du domaine s’attachent à concilier cet héritage paysager avec une gestion écologique exigeante. Le site accueille chaque année entre 5 000 et 7 000 visiteurs, invités à une déambulation libre au cœur d’un paysage pensé dans ses moindres détails.
Des ruches, un verger et un potager cultivé selon les principes de l’agriculture biologique viennent enrichir cette immersion. Le parc s’enrichit chaque année de nouvelles plantations sélectionnées pour leur résistance et leur adéquation au site. L’ensemble s’inscrit dans une démarche environnementale guidée par une vision à long terme, où chaque intervention vise à préserver les ressources et à inscrire le jardin dans une dynamique durable.
En 2024, l’obtention du label EcoJardin est venue consacrer l’attention portée aux abords du château. Beychevelle devient ainsi le seul domaine viticole en France à voir son jardin distingué par ce label exigeant, qui récompense une gestion fondée sur la sobriété des pratiques, la valorisation des essences locales, l’équilibre des sols et une attention particulière portée à la biodiversité.
Depuis 2023, les Flâneries de Beychevelle invitent à une nouvelle lecture des jardins. Chaque été, un artiste est invité à imaginer une œuvre in situ à partir de matériaux issus du domaine. Une manière contemporaine d’habiter le paysage, en résonance avec l’histoire et les valeurs du lieu.
Un certain art du paysage
À l’image du château, les jardins de Beychevelle cultivent un art du temps long. Pensés comme le prolongement naturel de l’architecture, ils ont été façonnés et enrichis au fil des siècles pour composer un décor structuré, vivant et sensible.
Dès le XIXe siècle, les propriétaires successifs magnifient les abords du domaine : nivellement de la cour, sculptures, créations florales, serre d’orangers, volière… Chaque intervention révèle un attachement profond à la beauté et à la mise en scène du lieu. Aujourd’hui encore, les arbres centenaires, les massifs fleuris et les lignes de fuite perpétuent cette vision du jardin à la française. Du vieux cèdre de la cour d’honneur aux arbres fruitiers issus d’un conservatoire, chaque élément contribue à l’harmonie et à la singularité de la propriété.
Un certain art du paysage
À l’image du château, les jardins de Beychevelle cultivent un art du temps long. Pensés comme le prolongement naturel de l’architecture, ils ont été façonnés et enrichis au fil des siècles pour composer un décor structuré, vivant et sensible.
Dès le XIXe siècle, les propriétaires successifs magnifient les abords du domaine : nivellement de la cour, sculptures, créations florales, serre d’orangers, volière… Chaque intervention révèle un attachement profond à la beauté et à la mise en scène du lieu. Aujourd’hui encore, les arbres centenaires, les massifs fleuris et les lignes de fuite perpétuent cette vision du jardin à la française. Du vieux cèdre de la cour d’honneur aux arbres fruitiers issus d’un conservatoire, chaque élément contribue à l’harmonie et à la singularité de la propriété.
